photo Inklassable : Andromaque

Inklassable : Andromaque

Manifestation culturelle, Spectacle, Théâtre

Guéret 23000

Le 20/03/2025

La prise de Troie a bien eu lieu ! Andromaque, veuve d’Hector, est prisonnière de Pyrrhus, fiancé à Hermione alors qu’il aime Andromaque alors qu’Hermione l’aime et attend son mariage, alors qu’elle est aimée d’Oreste... Florence Coudurier incarne tour à tour chacun des personnages de la célèbre pièce de Racine. Le batteur Denis Barthe accompagne le texte dans sa richesse, dans son ampleur, dans sa violence, dans sa poésie. Les solos de batterie expriment la colère des dieux, le grondement du peuple, le massacre des guerres.

photo Inklassable : Andromaque

Inklassable : Andromaque

Lecture - Conte - Poésie

Guéret 23000

Le 20/03/2025

La prise de Troie a bien eu lieu ! Andromaque, veuve d’Hector, est prisonnière de Pyrrhus, fiancé à Hermione alors qu’il aime Andromaque alors qu’Hermione l’aime et attend son mariage, alors qu’elle est aimée d’Oreste... Florence Coudurier incarne tour à tour chacun des personnages de la célèbre pièce de Racine. Le batteur Denis Barthe accompagne le texte dans sa richesse, dans son ampleur, dans sa violence, dans sa poésie. Les solos de batterie expriment la colère des dieux, le grondement du peuple, le massacre des guerres.

photo Apaiser la mémoire, conversation avec mon frère Jean

Apaiser la mémoire, conversation avec mon frère Jean

Lecture - Conte - Poésie, Conférence - Débat

Boussac-Bourg 23600

Le 29/03/2025

Mise en voix avec Adelaïde Mukantabana et Gilles Ruard Tordre le cou à l’idée que le génocide des Tutsi du Rwanda fut le résultat d’un conflit tribal, d’une guerre de clans ; s’élever contre l’effroyable réduction de la victime au bourreau qui fut le fait du gouvernement français de l’époque, facilitant ainsi l’horreur génocidaire, c’est ce à quoi s’emploie à travers l’écriture, la rescapée de l’innommable, pour une deuxième fois. Nous rendre à une humanité, voilà la vertu de ce texte poignant. Il va bien au-delà d’un témoignage, puisqu’Adélaïde Mukantabana, avec un rare talent, arrive, dans une langue française très dense, nourrie de la subtilité et de la poésie de sa propre langue maternelle, le Kinyarwanda, à évoquer les siens.

photo Apaiser la mémoire, conversation avec mon frère Jean

Apaiser la mémoire, conversation avec mon frère Jean

Fête, Manifestation culturelle

Boussac-Bourg 23600

Le 29/03/2025

Mise en voix avec Adelaïde Mukantabana et Gilles Ruard Tordre le cou à l’idée que le génocide des Tutsi du Rwanda fut le résultat d’un conflit tribal, d’une guerre de clans ; s’élever contre l’effroyable réduction de la victime au bourreau qui fut le fait du gouvernement français de l’époque, facilitant ainsi l’horreur génocidaire, c’est ce à quoi s’emploie à travers l’écriture, la rescapée de l’innommable, pour une deuxième fois. Nous rendre à une humanité, voilà la vertu de ce texte poignant. Il va bien au-delà d’un témoignage, puisqu’Adélaïde Mukantabana, avec un rare talent, arrive, dans une langue française très dense, nourrie de la subtilité et de la poésie de sa propre langue maternelle, le Kinyarwanda, à évoquer les siens.